dimanche 26 janvier 2014

Prochain article à lire : 


Monseigneur Ferdinand Maemba Liwoke, Evêque de Lolo, le 26 janvier 2014 peu avant la messe

Monseigneur Maemba organise avec pompe ce dimanche 26 janvier 2014 un double Jubilé pour le diocèse de Lolo : 50 ans de l’érection du diocèse et 100 ans de la paroisse Saint Willybrod de Moenge.
Paroisse Saint Jean Baptiste de Lolo
                                                                                        Antonio Lisuma

jeudi 23 janvier 2014

Baptême des enfants à la paroisse Notre Dame de Bumba
          Le Père Carlos Rommel, Curé de la paroisse Notre Dame de Bumba, a baptisé quelques enfants des parents mariés religieusement au cours d’une messe qu’il a dite ce dimanche 19 janvier 2014 à 9 heures dans sa paroisse.
          Débutée à 9 heures, la messe qui était chantée par la chorale des Bilenge ya Mwinda, les Jeunes de Lumière, s’est poursuivie jusqu’à 11 heures. L’homélie du Père était centré sur la parole de Jean le baptiste, désignant Jésus l’Agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde…
          Peu avant le baptême proprement dit, le Curé a expliqué pourquoi il allait faire baptiser les enfants. « Selon l’esprit du Vatican 1, a dit le père Carlos, les chrétiens se faisaient baptiser massivement pour entrer au ciel, mais depuis Vatican 2, il ne suffit plus de se faire baptiser pour accéder au royaume céleste car le baptême seul ne peut pas faire entrer quelqu’un au ciel, mais les bonnes œuvres faites dans la justice, l’amour et la vérité, c’est ce qui peut ouvrir la porte du ciel… ».
         « Les enfants des parents mariés qui se feront baptisés, a renchéri le Père Curé, seront bien sûr encadrés par  leurs parents qui les feront petit à petit conduire dans les bonnes œuvres d’amour du prochain, de justice, de vérité, et de culture du pardon… Car avec Jésus, fini la loi du Talion : dent pour dent , œil pour œil… C’est le pardon qui prime… » a conclut l’homme de Dieu.
                                                                            Antonio Lisuma









vendredi 17 janvier 2014

Thomas Miali Lisasi est décapité dans un règlement de compte
par Bwana Rachidi Ikula

Thomas Miali Rachidi décapité par Rachidi Ikula

          Pas plus tard qu’une semaine après l’évènement meurtrier de Trésor Matuka, un certain Thomas Miali Lisasi a été décapité par son voisin tôt le matin du mercredi 8 janvier 2014.
          Thomas Miali, cet ex militaire, vivait dans sa parcelle de la vingtième avenue dans la nouvelle citée dite « Ndongo » lotie récemment à la périphérie Nord-est de la cité de Bumba. Il vivait avec son petit frère. Sa femme et ses deux enfants traînent encore à Isiro où il était il y a deux ans au service de l’armée nationale. Les autres membres de sa famille vivent sur la 4e avenue.
Le cadavre de Thomas était exposé dans sa famille sur 4e avenue, direction Lobo 

          A son voisinage, il y avait des concessions non encore exploitées parmi lesquelles celle d’un certain Rachidi Ikula, un autre ancien militaire démobilisé originaire de village Yambendo, vers la route Malekesa, qui se connaissait avec Thomas.
          Selon un cousin de ce dernier, Rachidi avait vendu une même parcelle à deux personnes différentes et cette escroquerie était connue de Thomas Miali qui dénonça la combine à un des clients de Rachidi afin de le prévenir. Ce client se mit aussitôt à faire pression sur Rachidi pour récupérer son argent. Et c’est à travers cette altercation que Rachidi compris que c’est Thomas qui le lui avait averti.
L'endroit exact où est implanté la machette où était décapité Thomas.
On y voit son petit frère en singulet noir et son cousin

          La dénonciation faite par Thomas ne plu pas à Rachidi qui vint se venger chez  lui à la maison. Thomas était surpris de voir ce monsieur se présenter chez lui tôt le matin du mercredi 8 janvier dernier pour lui demander des explications sur ladite histoire de vente de parcelle et de sa calomnie.
les tachses de sang de Thomas en bas de la photo. C'est ici qu'est venu s'écrouler Thomas
après avoir tenté de poursuivre son bourreau Rachidi

          Lorsque Rachidi senti que son voisin Thomas ne s’intéressait pas de ce qu’il le lui disait et qu’il poursuivait volontiers à vaquer à son travail de balayage de la cour, il saisi l’occasion, brandit sa machette qu’il avait emmenée et qui était cachée en lui, découpa avec force le cou de Thomas, et lui trancha le vertèbre ainsi que de l’artère.
La concession de Thomas Miali

          L’arme pénétra la chaire du cou jusqu’à découper l’os de la colonne vertébrale. Thomas mourut sur place, se vida de son sang.
          Son petit frère qui était en ce moment aux WC entendit des cris au loin et intervint, c’était déjà trop tard, il poursuivit le bourreau jusqu’à l’atteindre au niveau de l’entrée de la concession ; il fut raté de justesse par le coup de machette du bourreau qui tenta aussi de l’éliminer avant de s’enfuir dans la forêt, et ce, jusqu’à ce jour…
L'entrée de sa concession

                                                      Propos recueillis par Antonio Lisuma
 











samedi 11 janvier 2014




Un esprit des morts plane sur Bumba au début de l’an 2014 !
          Il se passe des scènes odieuses dans la cité de Bumba depuis le début de cette nouvelle année 2014. Au lieu de se réjouir du fait que Dieu les a protégés et gardés en vie durant toute l’année qui vient de s’achever et qu’ils sont en forme au début de la nouvelle année qui commence, les bumbatraciens ne savent plus à quel saint se vouer, tant des scènes macabres et incroyables se font subitement voir sous leurs yeux à travers la cité de Bumba. Nous citerons quelques cas enregistrés jusque là :
1.   Trésor Matuka, froidement assassiné
par les habitants du quartier « Lokele Molua » à Bumba
Trésor Matuka, chauffeur de BAT et de SOFICOM,
assassiné le 1e janvier 2014 par les habitants de quartier Lokele Molua
          Un dénommé Trésor Matuka, chauffeur-journalier de la BAT et de la SOFICOM, respectivement la compagnie de commercialisation des cigarettes et de transfert de monnaie, vient de connaître une mort tragique dans l’après midi de mercredi 1e janvier 2014. Il était froidement assassiné par les habitants de quartier Lokele Molua, quartier riverain des pêcheurs de la tribu Lokele, situé à l’ouest, en aval de la cité de Bumba, de l’autre côté de la rivière Molua, vers la route Ebonda.
Trésor fut abattu, découpé comme un animal; il avait la langue et l'oreille mutilées 
          En effet, à bord de la moto de marque DT de la compagnie SOFICOM, Trésor Matuka revenait d’Ebonda d’une visite familiale et rentrait à Bumba. Dans le sens inverse, partait un certain Aloïs, de la tribu Lokele, habitant le quartier Lokele presqu’au bord de la route principale, à quelques 600 mètres de pont Molua d’où il venait. Ce dernier portait sur sa moto un ami Mendé, fils de Denis Kasongo qui habite près de SEP Congo. Les deux jeunes hommes roulaient à tombeau ouvert.

A droite, la rizerie "Les compagnons de Daniel" sur la route Ebonda, l'endroit exact où eût lieu l'accident

Arrivé aux environs de la rizerie Les Compagnons de Daniels, ivre qu’il était, Aloïs redoubla de la vitesse pour doubler une autre moto qui roulait devant lui allant vers Ebonda dans le même sens que lui, sans se soucier le moins du monde de la tierce moto qui venait, elle aussi à tombeau ouvert en sens inverse.
Il avait aussi le penis mutilé
          Le choc assourdissant et soudain de deux motos provoqua la mort immédiate d’Aloïs et de son ami Mendé, deux jeunes hommes connus des habitants du quartier Lokele Molua, tandis que l’autre motard, qui n’a pas subi trop de dégâts, réussi à s’enfuir vers Bumba.
Y compris les testicules
          A ce moment précis apparut le malheureux Trésor Matuka qui venait derrière le motard fuyard. Il freina devant les accidentés et voulu faire le bon samaritain. La foule qui accourait de part et d’autre de la voie publique ne tarda pas de le considérer comme auteur du crime et décida de l’arrêter. Il réussit à s’échapper dans une parcelle voisine, tant son démenti ne faisait qu’exacerber la suspicion de la foule qui voulait coûte que coûte venger la mort des leurs.
Sa famille en train de le pleurer
          La colère des peuples Lokele était dans son comble que même la personne qui avait accepté Trésor dans sa maison fut menacée de mort. Ces derniers s’emparèrent de Trésor et l’amenèrent dans un endroit reculé et herbeux où ils le tuèrent froidement à coups de machette et autres instruments destinés à la pêche. Ils mutilèrent certains organes du corps de Trésor, notamment le pénis et les testicules et revinrent sur la route et brûlèrent la moto de la marque DT de la compagnie SOFICOM.
La fumée montait au ciel au moment les budja faisait la revenge au quartier Lokele Molua
          Comme il fallait s’y attendre, la mort de Trésor entraîna la vengeance des peuples Budja contre les habitants Lokele du quartier riverain Lokele Molua. Ils allèrent se battre contre les Lokele et réussirent à bruler 107 maisons. Ces derniers s’enfuirent, certains traversant le fleuve, les autres se cachant dans la forêt environnante.  La police commandée par le Major Musafiri a arrêté huit jeunes Lokele coupables de meurtre de Trésor, et dans l'entre temps l’enquête se poursuit…

107 maisons brûlées au quartier Lokele Molua


          Nous noterons que d'après Chancelier Elumba, un notable de la place, les peuples pêcheurs Lokele viennent du territoire d’Isangi et étaient autorisés vers les années 60 par l’administrateur de territoire de Bumba de l'époque, de s’installer au quartier qu’ils occupent actuellement, dans Bumba le territoire des Budja, pour pourvoir en denrées de la pêche la cité de Bumba; mais aujourd'hui ce regroupement de peuples lokele en un seul endroit constitue un danger réel envers les Budja les autochtones, et même envers tout citoyen habitant la cité de Bumba. Mieux serait de les mêler avec la population entière habitant la cité de Bumba, plutôt que de les laisser se regrouper ainsi en foyer unique des Lokele, dans le quartier Lokele Molua, de même que leurs frères Lokele de quartier Lokele Mongala, de peur de ne plus revivre à l'avenir ces scènes ignobles et macabres...  Affaire à suivre.
                                                            Propos recueillis par Antonio Lisuma

 













jeudi 9 janvier 2014

Visite éclaire des Renson à Bumba
Les deux familles de Renson devant l'Hôpital Notre Dame de Bumba, fondé par le Père Carlos

          La paroisse Notre Dame de Bumba du Père Curé Carlos Rommel a une fois de plus reçu de la visite, cette fois, celle des familles Renson venues de Belgique, plus précisément de Waregem. Elles ont passé des moments inoubliables à Bumba, de lundi 30 décembre 2013 au mercredi 1e janvier 2014.

De gauche à droite: Bernard Paul, Renson Luc Louis, Patriciat Bouckaert, Père Carlos, Henri Paul et Thibault Louis


          Patricia Bouckaert, nièce du Père Carlos Rommel et épouse de Renson Luc Louis, a, en compagnie de son époux et de ses trois fils Thibault Louis, Henri et Bernard, effectué la visite éclaire à Bumba pour voir son oncle le Père Carlos Rommel. Ils étaient dans leur périple accompagnés de Renson Paul Maurice, le frère de Renson Luc, de son épouse Pascale Nadine Sioen ainsi que de leurs enfants Léon, Hubert et Dimitri.
Luc Louis Renson et son épouse Patricia Bouckaert, la nièce du Père Carlos

Paul Maurice Renson le frère de Luc Louis Renson

Pascal Nadine Sioen, l'épouse de Paul Maurice


          Sous la houlette d’Annette Stroobandt, la chargée des relations publiques de l’agence d’expédition Asteria, qui connaissait déjà Bumba car elle y était venue dans le passé, les deux familles sont arrivées à Kisangani via Kinshasa la capitale congolaise, le samedi 28 décembre 2010.
Annette Stroobandt, de l'agence ASTERIA, elle dirige le voyage

A Kisangani, elles ont visité certains sites, notamment les chutes Wagenia où ils ont pu savourer les grillés des poissons frais capturés par les pêcheurs Wagenia sur les rapides du fleuve Congo, juste en amont des installations portuaires de Kisangani.
Visite dans la salle d'accouchement à la maternité de l'Hôpital Notre Dame du Père Carlos
Visite dans la salle des femmes qui ont accouché

          Après, ils quittèrent Kisangani en direction de Bumba, le dimanche 29 décembre et parcoururent  quelques 125 kilomètres, roulant en motos jusqu’à Isangi, en passant par Yangambi, l’ancien centre de recherche agricole du pays. De là, ils  prirent des pirogues motorisées qui les amenèrent à Bumba où ils arrivèrent vers 20h du lundi 30 décembre.
Préparatif à la Cure de la paroisse Notre Dame pour une tournée vers Bosambi
Le Père Carlos le Guide du voyage vers Yakoy Moke à Bosambi, à droite la dame Annette Stroobandt

          Le lendemain, c'est-à-dire le mardi 31 décembre 2014, le dernier jour de l’an 2013, le Père Carlos emmenèrent ses visiteurs à Yakoy Moke, un village situé à quelques 40 Km au Nord de Bumba, où jadis était un des domaines d’apostolat du Père Carlos, alors Vicaire de la paroisse Saint André de Bumba. Les visiteurs prirent des motos et empruntèrent la route Manga, en direction de Bosambi, les femmes, suivirent derrière en jeep. 
En route ...


Escale à Yamombenga à 17 Km de Bumba, mot de circonstance par le Père Carlos...
Danse d'accueil des villageois

          En tête du cortège de motards, le père Carlos roulait en expérimenté sur une route en très mauvais état, qu’il connaissait déjà assez bien, traversant des ponts dont certains n’avaient juste les bois où pouvait passer de justesse chaque roue, ils poursuivirent ainsi le chemin vers Bosambi, parcourant des endroits tantôt sablonneux, tantôt rocailleux, où les autres motards suivaient à la queue-leu-leu, essayant tant bien que mal de suivre le Père Carlos.

Escale au croisement de Yakoy/Beteme, à 34 Km de Bumba. un repos.


La population de Beteme Yakoy accoure...

      Ils arrivèrent à Yakoy Moke, où, vers les années 1968, le Père Carlos, encore jeune prêtre, initiait déjà les villageois à l’activité de production agricole dans une certaine coopérative paysanne. Avec ses visiteurs, le Père Carlos se reposèrent un moment à la chapelle qu’il a construit cette année là, puis, après un bref mot de circonstance faite par le père pour ses hotes de Yakoy Moke, le cortège regagna Bumba, via le croisement Beteme ; il visita d’abord l’ancien marché en construction par le Père avant de revenir à la Cure vers 17h30’, où ils passèrent avec le Père ensemble, le réveillon de Nouvel An 2014.


Accueil spontané de la population de Yakoy Moke où jadis le Père prêchait
alors qu'il était Vicaire de la Paroisse Saint André de Bumba

A la Chapelle construite par le Père Carlos vers les années 1968 à Yakoy Moke
Le Père Carlos fait la présentation des visiteurs au près des villageois


Visite à l'ancien marché central de Bumba en construction par le Père Carlos Rommel

Luc Louis Renson et son fils Bernard Paul, le grand Motar

          Le lendemain vers midi, le jour de l’An, les deux familles belges prirent l’avion pour le retour en Belgique via Kinshasa la capitale congolaise, où ils arrivèrent trois heures plus tard…
Un verre de rafraîchissement à la cure de la paroisse Notre Dame, après le "raid" sur Yakoy Moke 

                                                                  Propos recueillis par  Antonio Lisuma  

          

dimanche 5 janvier 2014

Docteur Trésor Likenge fait la dot
pour sa femme Espérance Ahengo

Docteur Trésor Likenge et sa femme Espérance Ahengo


          La famille du Capitaine Akola, père de la demoiselle Espérance Ahengo, a reçu la visite de la famille du Docteur Trésor Likenge, médecin de l’Hôpital Notre Dame de Bumba et Préfet des Etudes de l’Institut des Techniques médicales Notre Dame, pour les cérémonies de la présentation de la dot de leur fille Espérance, ce samedi 28 décembre 2013 sur l’avenue Mbandaka, non loin de la piste d’aéroport de Bumba.

De gauche à droite, le Capitaine Akola, père d'Espérance, maman Jeannette Matuka, la maman d'Espérance, et dame  jumelle de la Regrettée maman de Docteur Trésor.

          De nombreuses personnalités de deux familles ainsi que certains invités et connaissances ont participé à cette cérémonie traditionnelle du mariage coutumier organisé par les deux familles. Ceci fait suite à une pareille cérémonie appelée « pré dot », organisée au mois d’aout dernier, où Monsieur Trésor Likenge, cet ancien collégien de Notre Dame de Bumba, s’est présenté officiellement à la famille de la demoiselle Espérance pour promettre à celle-ci qu’il se mariera à elle.

Présentantion des biens de la dot

Le bassin "Libala bolingo"
Dr Trésor offre 500.000 FC pour la dot de sa femme
La mariée reçoit de l'argent de mains de son mari et s'apprête à le donner à sa famille
          Il a dû à l’occasion présenter quelques cadeaux ainsi qu’une enveloppe contenant de l’argent, et, en guise de réponse, la famille de la jeune fille a, à la suite, présenté au docteur une liste des biens que celui-ci devrait amener pour recevoir la main de leur fille.  

Papa reçoit de l'argent de mains de sa fille
          C’est ce que ce dernier a réalisé ce samedi : il a présenté par l’intermédiaire de son porte parole, Monsieur Takabe Omer, jadis son professeur au Collège Notre Dame : habits, chaussures, cravate… pour le père de la mariée ; pièce d’étoffe super hollandais, chaussures, montre, chainette en or… pour la mère de la mariée, un générateur, trois chèvres, des casiers de bières, des bassins et tant d’autres biens ; et par-dessus tout, une enveloppe contenant cinq cent mille Francs congolais (l’équivalent de 537 dollars US) …
Le couple ouvre le repas prévu pour ce soir

          Après les cérémonies de la présentation et de la réception de la dot, la famille hôtesse a manifesté sa satisfaction, et a offert un festin somptueux aux convives, après avoir présenté officiellement à l’assistance Monsieur Trésor et sa femme Espérance, symbole de l’acceptation de leur mariage. Ceux-ci s’approchèrent de la table officielle, conduits par une équipe de jeunes filles qui exhibaient à l’honneur des mariés quelques pas de dance au rythme de la rumba congolaise.
Les accoucheuses Sien et Charlotte ainsi que les réligieuses de la Doctrine Chrétiennes, gestionnaires de l'Hôpital Notre Dame de Bumba étaient également témoins de l'événement 
          A la fin de la cérémonie, la bière coula à flot et égaya toute l’assistance. Le regard reste désormais tourné vers l’organisation du mariage civil et religieux prévus dans un avenir proche, selon certaines indiscrétions…   
La danse au pas de la rumba congolaise
                                                                                          Antonio Lisuma