vendredi 31 décembre 2021

Le Tout-puissant Njanja battu par le Daring Club Motema Pembe

Le Tout-puissant Njanja battu par le Daring Club Motema Pembe


Daring Club Motema Pembe


Organisé par l’entente urbaine de football de Bumba, le championnat local continue bel et bien au stade Père Carlos de Bumba. Après avoir battu mercredi 29 décembre dernier le Football Club Manga Sport avec un score de deux buts à zéro, le Daring Club Motema Pembe a accueilli l’après-midi du vendredi 31 décembre dans le même stade le Tout-puissant Njanja.

Tout-puissant Njanja

Débuté à 15h00’, cette rencontre sportive s’est vue mouvementée et animée par les actions remarquables de chaque club  et qui n’ont pas su laisser indifférents les spectateurs qui étaient aperçus dans la tribune d’honneur et sur les gradins du stade.

Fraîchement venu de la LINAFOOT, le Daring Club Motema Pembe n’a pas tardé à s’imposer sur son adversaire en ouvrant le score dans les dix premières minutes par le truchement de son vaillant attaquant répondant au nom de Angelele. Prouvant sa suprématie face à l’équipe adverse, le Daring Club Motema Pembe a pu alourdir le score en inscrivant quatre autres buts. Cependant, le Tout-puissant Njanja dont la prestation a paru inférieure à celle de son adversaire s’est démené comme un diable dans un bénitier pour réduire le score. Chose faite, il a quand même pu marquer un but.

 En dépit de son dévouement et sa détermination, le Tout-puissant Njanja n’a pas su égaliser le match, car le Daring Club Motema Pembe s’est montré dur comme le fer en consolidant davantage sa défense. Ce qui a permis à ce dernier de tirer profit de ce match terminé avec un score de cinq buts à un en sa faveur.

La compétition tendant à son terme, signalons qu’il reste encore quelques matchs à jouer pour le Daring Club Motema Pembe qui doit affronter l’Olympic Club de la Mongala, le Football Club Nika et le Tout-puissant Ouragan.

Bienvenu Balomao

  

 

Bumba : Le géographe Maluku prône le respect de l’environnement

Bumba : Le géographe Maluku prône le respect de l’environnement

Le géographe Maluku

Se penchant sur l’étude des phénomènes d’érosion dans la cité de Bumba, le géographe Maluku découvre que cette ville mongalaise regorge nombreux ravins surtout dans sa partie septentrionale. Réalisées pendant une dizaine d’année, les études faites prouvent qu’on y trouve septante-deux têtes d’érosion dont une grande partie se situe dans le quartier Lokole.

Couvrant une superficie de cinquante kilomètres carrés, la ville de Bumba connaît deux types d’érosion : l’érosion fluviale observée le long de l’avenue du fleuve et celle causée par les eaux de pluie dans certains quartiers de la ville. Ayant perdu son sens d’urbanisation, la ville demeure sujette des phénomènes érosives et inondations chaque fois qu’il pleut.


L'érosion dans une artère de Bumba


Evoquant les causes de ces catastrophes qui menacent la ville, il a également soulevé les constructions anarchiques dans certains sites réservés comme espaces verts et destinés au passage des eaux de pluie.

Cependant, paraissant alarmante, cette situation nécessite l’implication complète des autorités du service de l’urbanisation pour stopper cette dégradation au sein de la ville. En effet, il exhorte la population bumbalaise à respecter l’environnement en évitant de construire dans des sites réservés au passage et à l’absorption des eaux de pluie. Outre cela, il l’invite également chaque avenue à gérer les eaux la traversant en les canalisant convenablement vers les ruisseaux pouvant les conduire à la rivière.

Concernant l’avenue du fleuve qui demande un coût élevé, il invite l’autorité compétente à prendre dans le délai des dispositions indispensables pour sauver cette artère en voie de disparition.

Bienvenu Balomao

  

jeudi 30 décembre 2021

Bumba : la mort à grand feu de la société de chemin de fer de l’Uélé

Bumba : la mort à grand feu de la société de chemin de fer de l’Uélé


L'épave d'une locomotive

Ayant grandement aidé dans les années quatre-vingt les populations de la partie nord-est de la République Démocratique du Congo, précisément de l’Equateur et de la province orientale en reliant Bumba à Isiro, la Société de chemin de fer de l’Uélé est en train de mourir à grand feu parce que complètement abandonnée à son triste sort depuis au moins trente ans, alors qu’étant une société de l’Etat rdcongolais.

En déclin depuis 1992, cette société de transport reliant une distance de mille vingt-six kilomètres en commençant par le territoire de Bumba dans la province de la Mongala, le Bas-Uélé, le Haut-Uélé et la Tshopo se vide aujourd’hui de tout ce dont elle se composait. Vidé de sa toiture, son grand garage reste totalement dépossédé de tout ce qu’on y trouvait comme équipements et matériels utilisés pour divers services qui s’y effectuaient. Même les rails qui serpentaient sa concession semblent être emportés par des sans-culottes dont l’unique mission est de précipiter sa disparition totale.

Curieux de voir ce qu’elle est devenue actuellement, nous y avons effectué une visite au cours de laquelle nous avons eu l’opportunité d’échanger avec son représentant, le Directeur André Mabiti. Y arrivés, nous n’avons trouvé que quelques épaves des locomotives et wagon dépourvues de toute utilité possible alors que dans les années septante et quatre-vingt comme nous l’avons dit, ces machines drainaient derrière elles un grand nombre de wagons occupés d’un côté par des passagers et de l’autre remplis de biens de tout genre en destination de Bolende, Aketi, Buta, Isiro, Mungbere et vice versa.

Rejetés dans les oubliettes depuis le déclin de la société, les cheminots, croupissant dans une misère indescriptible, tirent révérence les uns après les autres y compris leurs épouses et enfants faute des soins appropriés.

Se confiant à Bumbanotredame.blogspot.com, Monsieur André Mabiti, le Directeur de la Société de chemin de fer de l’Uélé, s’est dit content de nous recevoir pour une interview grâce à laquelle leur message de détresse parviendra aux autorités de la République. A l'en croire, ils adressent plusieurs fois des pétitions aux autorités pour leur faire entendre leur cri d'alarme, mais ces dernières n'ont jamais reçu de réponses. Maintenant, ils éprouvent des difficultés d'encadrer les agents dont les enfants n'étudient pas à cause d'impossibilité. Sur ce, ils invitent le Président Félix Antoine Tshisekedi à mettre en pratique sa décision en ressuscitant cette société de chemin de fer afin de désenclaver cette région de la République Démocratique du Congo.

Bienvenu Balomao  

Bumba/Epst : les professionnels de la craie en attente de la note circulaire de l’exécutif provincial

Bumba/Epst : les professionnels de la craie en attente de la note circulaire de l’exécutif provincial

Lors d'un rassemblement scolaire à l'E.P. Ngito

Pour éclairer l’opinion au sujet de la gratuité de l’enseignement en République Démocratique du Congo, une note circulaire du ministère de tutelle venait de préciser, selon les médias nationaux en ligne, que cette gratuité dont il est question ne concerne que les écoles primaires publiques de la République. Pour ce faire, une lettre signée par l’exécutif provincial de Kinshasa a dû fixer les frais que doivent payer les parents pour l’enseignement dans les écoles secondaires de la capitale du pays. Pour les établissements scolaires fonctionnant avec un budget annuel moins élevé, les frais s’élèvent à cent cinquante dollars américains pour toute l’année scolaire et à trois cents dollars américains pour ceux dont le budget annuel paraît très élevé.

La même situation est observée dans quelques provinces de ce pays continent, en l’occurrence au Nord-Kivu où certains médias nationaux ont fait savoir qu’après en avoir tenu compte, l’exécutif provincial de ladite province a également fixé les frais que payeront les géniteurs et tuteurs de cette région pour cette année scolaire en cours.

Cependant, avertis de la décision du ministère de l’enseignement primaire, secondaire et technique, les enseignants du secondaire du territoire de Bumba comptent aussi jouir de ce dont jouissent leurs collègues de la capitale et d’ailleurs. Sur ce, ils disent attendre l’arrêté de l’exécutif provincial de la Mongala. « Quand nous parviendra la note circulaire de l’exécutif provincial de la Mongala fixant les frais à payer dans les établissements scolaires secondaires hormis les frais perçus pour la paie de nouvelles unités, comme ça se fait à Kinshasa et ailleurs », ont déclaré quelques enseignants à Bumbanotredame.blogspot.com à l’occasion de la proclamation des résultats scolaires de la première période de l'année scolaire 2021-2022.

Les élèves en récréation au Collège Notre Dame

Par ailleurs, les professionnels de la craie du primaire qui s’inquiétaient pour la paie du mois de décembre viennent d’être payés sans bénéficier de la prime de la gratuité comme l’avait annoncé Kinshasa à la veille de ce dernier mois de l'année. Toutefois, l’espoir fait vivre, dit-on, ils espèrent en bénéficier le mois prochain.

Bienvenu Balomao

 

  

mercredi 29 décembre 2021

Bumba : les prix des denrées alimentaires en flambée

Bumba : les prix des denrées alimentaires en flambée

Une femme vendeuse de farines de manioc

Lors d'une visite curieuse effectuée au marché central de Bumba où nous nous sommes particulièrement intéressés aux prix des denrées alimentaires y vendues, il nous a été un plaisir de nous entretenir pendant quelques minutes avec les vendeuses de riz, de farines de manioc et des bananes que nous y avons rencontrées.

Le riz vendu au marché

Se penchant sur les prix de ces denrées citées ci-haut, nous avons pu recueillir les propos de quelques femmes vendeuses qui se sont confiées à Bumbanotredame.blogspot.com. En effet, depuis quelques jours, lesdites denrées se vendent à un prix élevé contrairement aux jours passés où elles s’achetaient à un prix abordable.

Vendu à six et sept cents francs congolais, un guigoz (récipient servant d’unité de mesure) de riz a rapidement connu une augmentation du prix en passant de sept cents à mille francs congolais et pareillement pour celui de farine de manioc qui est allé de deux cents à trois cents francs congolais.

Cependant, les avis émis pointent en grande partie le délabrement des routes des dessertes agricoles ainsi que l’enclavement de certaines localités réputées meilleures pour des récoltes abondantes. D’après les propos des vendeuses, importateurs du riz et ceux de manioc à Bumba, la quantité importée de l’endroit de production jusqu’à celui de destination demeure encore minime suite à l’état des routes de desserte agricole que les véhicules destinés au transport n’arrivent pas à franchir. Ce qui fait que le transport des vivres soit surtout assuré par des cyclistes et motards.

Une femme vendeuse de banane

Quant aux vendeuses de banane également interviewées, elles ne s’écartent pas de ces raisons évoquées par leurs collègues du marché et ne font que prier les autorités politico-administratives de prendre des dispositions idoines pour réhabiliter ces routes délabrées et désenclaver les localités productrices en vue d’aider la population cette contrée rdcongolaise qui comptent plus sur leur bonne foi.

Bienvenu Balomao  

    

mardi 28 décembre 2021

Bumba/EPST : Des festivités noires pour les professionnels de la craie

Bumba/EPST : Des festivités noires pour les professionnels de la craie

Une enseignante de l'école primaire accompagnant les écoliers

Servis par la Caritas à qui l’Etat congolais a confié la mission d’opérateur de paie dans le territoire de Bumba puisque ce dernier étant dépourvu des banques commerciales, en dehors de la Rawbank qu’il abrite depuis l’an 2020, nombre d’enseignants bumbalais du primaire et du secondaire passent des festivités noires à cette période de fin d’année, car ne connaissant pas la date précise où leur parviendront leurs soldes.

N’ayant quasiment pas savouré la festivité de Noël parce que n’étant pas payés, ils demeurent toujours dans une incertitude totale concernant la paie du mois de décembre qu’ils attendent impatiemment depuis au moins une semaine. Inquiets, ils doutent qu’elle ait lieu à ce mois en cours qui est déjà au bout de son terme, alors qu’approche la fête de Nouvel an durant laquelle chaque foyer festoie, selon la coutume, en famille avec tous ses membres présents tout en remerciant le ciel de les avoir protégés durant toute l'année.

Par ailleurs, ces professionnels de la craie déplorent ce retard de paie dont ils sont victimes chaque mois. A les en croire, il y a longtemps qu’ils ne touchent plus leurs salaires au bon moment, car le mois s’achève sans qu’ils les reçoivent. En effet, c’est après une ou deux premières semaines du mois suivant que les salaires leur parviennent. Ce qui contraint nombreux parmi eux de courir aux près des prêteurs de la ville pour s’endetter en vue de combler le bout du mois.

Très préoccupés par cette situation qui leur donne du pain sur la planche, ils invitent les autorités compétentes à s’en imprégner pour les sortir de ce calvaire qui les burine mensuellement depuis plusieurs jours.

Bienvenu Balomao

 









 

La fête de Noël s’est passée en paix à Bumba.

                               La fête de Noël s’est passée en paix à Bumba.

          La fête de Noël s’est passée dans la paix à la paroisse Notre Dame de Bumba du Curé le Révérend Père Carlos Rommel. Celui-ci, bien qu’octogénaire, il n’a senti ni affiché aucune fatigue en célébrant toutes les trois messes, comme il en a habitude depuis belle lurette, à la paroisse Notre Dame de Bumba.

Le Révérend Père Curé Carlos Rommel
L'église Notre Dame de Bumba pendant la messe de 5 heures et demie

          La première messe de Noël, c’est celle qui a émerveillé le plus, était dite la nuit du 24 décembre 2021 à partir de 18 heures, contrairement aux anciennes habitudes des années antérieures où cet événement devrait se célébrer vers minuit. Mais depuis les périodes des guerres déclenchées par l’entrée de la rébellion de l’AFDL (Alliance de force démocratique pour la libération du Congo de Laurent Désiré Kabila) vers 1996, les messes de nuit de Noel se célèbrent à partir de 18 heures, cela pour permettre aux fidèles de regagner à temps leurs domiciles pour éviter tout incident malheureux pouvant survenir vers les heures tardives ; et depuis cette période, la tradition de célébrer la messe de Noël (et même celles de Pâques) à partir de 18 heures était maintenue.

Les Jeunes de Lumière font le théâtre de la naissance de Jésus, ici l'Ange Gabriel vient annoncer aux bergers en veillée nocturne avec leurs troupeaux la naissance de Jésus à Bethleem... 

des anges chantent devant les bergers la naissance du Messie 
Joseph et Marie avec leur bébé qui vient de naître...

          Au cours de cette messe de veillée noëlesque, les « Bilenge ya Mwinda » (les jeunes de Lumière en langue Lingala) ont joué un traditionnel théâtre relatant les circonstances dans lesquelles le fils de Dieu était né à Bethlehem il y a plus de 2000 ans, au point que le Révérend Père Carlos n’ait plus à perdurer dans les explications au cours de son court sermon.

Prophète Siméon se réjouit d'avoir vu celui qu'il attendait...


La prophétesse Anne prédit le malheur qui surviendra...  

          Le Curé a cependant commenté le résumé des « mikano » (c’est-à-dire les décisions ou les résolutions) que la paroisse a pris pendant les quatre semaines de l’Avent de toujours travailler dans « le bosembo » (la justice), le « mbongwana » (le changement de mentalité vers la bonne), « le bosolo » (la vérité) et « le bolingo » (l’amour ou la charité). Le Père Carlos a posé la question à tous ses ouailles qui l’écoutaient pendant le silence qu’entourait son homélie la question de savoir si le Christ venait à naître de nouveau ici à Bumba, chez qui cela pourrait-il se passer ? « Est-ce que le Christ viendra naître chez toi ? », s’est exclamé le Curé de la paroisse !!! Le Christ viendra-t-il naître chez le riche ou chez le pauvre ?


          Le Père a quand même soulevé quelques conditions qui pourront favoriser le choix du lieu où pourrait naître de nouveau le Christ si cela s’avérait que le Christ naisse de nouveau : peut-être qu’il naitra chez celui qui a mis en pratiques les résolutions de la période de l’Adventus, à savoir, la pratique de la justice, le changement, la justice, et l’amour…  

après la scénette des Bilenge, le Père Curé fait son homélie

 Au cours de la messe, la chorale « Monzoto mwa ntongo » (L’étoile du matin), la chorale principale de la paroisse Notre Dame, s’est aussi remarquée par les belles mélodies ayant trait à la Nativité du Seigneur, telle que le « Gloria in excelcis deo » dont les couplets sont chantés en Lingala.



 

          Les deux autres messes étaient dites le 25 décembre. Si l’une avait débuté à 5 heures et demie, et était encore chanté par la chorale Monzoto mwa tongo, c’était celle qui a drainé le plus du monde, à plus de 3 milles âmes, par rapport à celle de 9 heures où la plupart de participants étaient surtout des jeunes, qui étaient cependant émerveillés par des belles mélodies des voix angéliques des Jeunes de Lumière et des Jeunes Légionnaires…

          La paroisse sous la houlette de son Curé a également pensé aux pauvres et démunis de la cité de Bumba à cette occasion de la fête de la Nativité ; des offrandes en natures étaient en effet collectées à la messe de 5 heures et demie pour être distribuées ensuite aux pauvres afin de leur redonner tant soit peu du sourire, à l'instar du vieux "Père Noël" volant aux secours des vieux indigents le jour de Noël...

                                                                     Antonio Lisuma

lundi 27 décembre 2021

Enabel réhabilite des bâtiments de l'administration du territoire de Bumba

Enabel réhabilite des bâtiments de l'administration du territoire de Bumba

Répondant à l’appel de détresse lancé par l’Administrateur du territoire de Bumba, Monsieur Miché Manzia Lambi la Mene, Enabel, l’agence belge du développement, vient effectuer des travaux de réhabilitation et de construction des bâtiments abritant les bureaux des services techniques déconcentrés de l’administration du territoire de Bumba.

Le bâtiment réhabilité abritant les divers services techniques déconcentrés de territoire de Bumba 


Enabel est le Maître d’œuvre ayant organisé le financement des travaux dans le cadre du Projet intégré de réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts dans la province de la Mongala (PIREDD-MO en sigle). Avec un budget de plus de 106 milles Euros, des bâtiments de l’administration du territoire seront réhabilités.

Panneau affichant le projet PIREDD


L’entreprise Valom Construct qui a réussi le marché avait démarré lesdits travaux depuis la fin de l’année 2020 par la réhabilition du bâtiment situé en arrière-plan, celui dont la toiture s’est envolé quelques mois plutôt au cours d’une des fortes précipitations que connaissent les riverains du majestueux fleuve Congo, lequel bâtiment abrite comme nous avons dit ci-haut divers services techniques déconcentrés de l’administration du territoire de Bumba, à savoir, agriculture, environnement, culture et art, sport et loisir, développement, budget, social, etc. Pourtant ce bâtiment n'était construit que vers les années 1980, si on le compare avec le bâtiment principal datant depuis 1930, construit à l'époque coloniale.

Ledit bâtiment est situé à l'arrière-plan

Au stade actuel, les travaux de finissage des constructions du bâtiment sont terminés, il ne reste plus que de meubler les divers bureaux y afférents avant de les restituer pour inauguration ou pour usage à l’administration du territoire.

Du côté postérieur du bâtiment

Un autre bâtiment est aussi construit à côté du bâtiment principal. Il abritera momentanément les installations de l’Enabel avant que celui-ci le restitue à l’administration du territoire, à la fin de son projet à la Mongala.

Un autre bâtiment construit à côté

Selon les indiscrétions reçues, Enabel envisage même d’ajouter un autre budget pour réfectionner le bâtiment principal, celui construit depuis 1930 par les colons belges. Lequel abrite les bureaux des Administrateurs du territoire, c’est-à-dire le titulaire et ses deux adjoints, l’un en charge de l’Administration et de la politique, l’autre en charge de l’économie et finance.

Le bâtiment principal de l'Administration du territoire de Bumba
datant de 1930 construit par les colons belges 


L'érosion menace la cour devant le bureau de l'A.T.

 Nous souhaiterions que l’Administrateur du territoire envisage de niveler le sol de la cour à l’avant-plan de la concession des installations de l’administration du territoire, car le sol est très menacé par l’érosion venant des eaux d’évacuation de côté, et même du fleuve, surtout les jours de grande pluie.

                                                                                Antonio Lisuma