vendredi 31 mars 2023

Bumba : Début de la campagne de distribution des moustiquaires

Bumba : Début de la campagne de distribution des moustiquaires

Sous l’impulsion du ministère rdcongolais de la santé en partenariat avec SANRU et IMA WORLD HEALTH, l’opération de distribution des moustiquaires faisant également partie des attributions du Programme National de Lutte contre le Paludisme vient bel et bien d’être lancée dans la division provinciale de santé de la Mongala.

Figurant dans ladite division, la zone de santé de Bumba n’est pas épargnée de la vague de cette opération de distribution gratuite des moustiquaires imprégnées d’insecticide. En effet, depuis jeudi 30 mars 2023, les agents sélectionnés pour ladite opération sont dépêchés dans les différents quartiers de la cité de Bumba où ils longent les rues, les avenues et les artères en allant de parcelle en parcelle afin de pourvoir des moustiquaires les ménages qu’on y trouve.

A en croire les informations parvenues à Bumbanotredame.blogspot.com, cette opération de distribution gratuite des moustiquaires déjà en cours s’étendra sur une durée d’une semaine. Entretemps la sensibilisation continue à se faire entendre via un générique publicitaire exhortatif balancé par les radios locales de la place.

Dans cette exhortation régulièrement balancée par ces radios émettant à Bumba, les géniteurs sont conviés à dormir et à faire dormir toutes leurs familles sous ces moustiquaires imprégnées d’insecticide pour qu’ils se protègent contre les piqûres des moustiques qui transmettent la malaria.

Bienvenu Balomao









 

 

    

jeudi 30 mars 2023

Une dîme de trop extorquée obligatoirement sur des pauvres Enseignants !

       

                                 Une dîme de trop extorquée obligatoirement 
                                           sur des pauvres Enseignants !

La somme de 10.000 FC était obligatoirement prélevée ce jeudi 30 mars 2023 par le préfet des études, Monsieur Jean Berchmans Maneno, sur le maigre salaire (prime des parents) à tous les enseignants du Collège Notre Dame, soit disant pour la dîme annuelle ecclésiale à verser à la coordination des écoles conventionnées catholiques de Bumba.

La question que chacun des enseignants s’est posée est comment se fait-il que cette dîme quitte le milieu approprié de son prélèvement, qui est la paroisse, où chaque ouaille verse volontairement à son curé paroissial la dîme selon sa production annuelle, et le système atterrit impétueusement aux écoles, des institutions de l’Etat congolais, lequel est censé être laïc ?

En plus, ce prélèvement se fait de manière obligatoire, sans consentement de l’enseignant dont le salaire ne lui permet pas déjà de nouer les deux bouts du mois ?

Le prélèvement de la dîme ecclésiale se fait ordinairement de façon volontaire, et normalement à la paroisse où tout est comptabilisé, synchroniquement avec les autres paroisses, et la liste publiée et exposée à la paroisse.

Que cette affaire d’extorsion financière sur des modiques salaires des pauvres enseignants s’arrête, car à l’allure où vont les choses, la prochaine tentative aura de mauvaises répercussions. Qu’on se le dise !

                                                                      Antonio Lisuma   

Deux ressortissants de Bumba invitent les autorités territoriale et provinciale à l’unité

Deux ressortissants de Bumba invitent les autorités territoriale et provinciale à l’unité

Inquiets d’une certaine polémique qui semblerait placer en désunion l’autorité territoriale, Me Gabriel Iluku et l’autorité provinciale, le Gouverneur César Limbaya, après la publication d’un communiqué de ce dernier ayant demandé à l’autorité territoriale de stopper dans l’immédiat les travaux du dégagement des vois publiques qu’elle venait d’amorcer sur la route Manga le long duquel se trouvaient tant d’éventaires,  deux ressortissants de Bumba vivant aux Philippines, Messieurs Hervé Losako et Didier Mbombo invitent les deux autorités à éteindre le feu de cette polémique et à travailler dans l’unité.

Didier Mbombo(en lunettes) et Hervé Losako

A en croire ces ressortissants de Bumba faisant partie de la communauté rdcongolaise aux Philippines, c’est pour eux une fierté et un honneur de voir deux fils de Bumba à la tête de ces entités politico-administratives et ces deux fils du territoire de Bumba doivent tous regarder vers la même direction en concevant des projets susceptibles d’émerger leur terroir, car la population bumbalaise attend d’eux des œuvres concrètes et le développement de Bumba.

Toutefois, ces anciens élèves du Collège Notre Dame exhortent l’Administrateur du territoire de Bumba également ancien élève dudit collège et le Gouverneur de la Mongala à privilégier l’échange autour d’une table chaque fois qu’ils auraient des problèmes à régler afin d’éviter le malentendu sous toutes ses formes et d’aboutir à des compromis pacifiques en lieu et place des piques sur les réseaux sociaux.

Dans une vidéo d’au moins huit minutes postée sur Facebook, ces deux ressortissants de Bumba appellent ces autorités provinciale et territoriale à mettre fin à ces piques sur les réseaux sociaux pour s’unir et travailler dans la paix pour le bien-être de leur territoire regorgeant tant de potentialités.

Bienvenu Balomao



 

 

Aucune réaction de la part du gouverneur de province à la suite des tueries perpétrées à Bumba.

 

Aucune réaction de la part du gouverneur de province

à la suite des tueries perpétrées à Bumba.

Depuis que des scènes macabres se sont perpétrées dans la cité de Bumba, la population bumbatracienne encore sous le choc et les affres des atrocités de ces événements macabres n’a pas encore entendu un seul mot de consolation de la part du gouverneur de province de la Mongala, Me César Limbaya, quel que soit l’endroit où les nouvelles l’ont atteint.

Le Gouverneur de Province, Me César Limbaya

En tant que numéro un de la province de la Mongala, le gouverneur est la personne qui a à sa disposition le commandement provincial de l’armée et de la police provinciales afin d’assurer la sécurité de ses populations. Il ne s’est pas permis de dire ne fut-ce qu’une simple parole de compassion aux familles éplorées, et essayer de mettre sur pied une sérieuse enquête qui pourrait aboutir à l’arrestation des criminels ou des commanditaires.

Mais, qu’est-ce que la population a reçu en lieu et place des paroles de consolation du gouverneur, plutôt le communiqué du 21 mars 2023 émanant de son cabinet (le directeur de cabinet Me Valentin MOKOKONZE), et ordonnant la suspension des opérations de démolition des kiosques et constructions anarchiques entamées depuis le 21 mars 2023 par l’administrateur du territoire (Me Iluku Gabriel). Pourtant ce dernier était en train d’assainir son territoire dans le cadre de l’opération « Bumba-bopeto » à l’instar de ce qui se passe de plus en plus à Kinshasa dans le cadre de l’opération Kin-bopeto du Gouverneur Gentiny Ngobila, sous l’impulsion du Chef de l’Etat, mais aussi en prévision de l’arrivée imminente du Chef de l’Etat à Bumba.

L'avenue Route-Manga, après l'opération de démolition des constructions anarchiques

L'Administrateur du territoire de Bumba, Me Iluku Gabriel, pendant l'opération Bumba-bopeto

L’Administrateur du territoire recevait presque à 100 % l’appui de sa population de Bumba, hormis les commerçants qui étaient délogés de la Route Manga qui ont fait une lecture négative de l’activité de l’administrateur du territoire.

Cette attitude, de rester insensible au malheur des familles endeuillées, de la part du gouverneur qui choisit plutôt de vitupérer contre l’Administrateur qui pourtant se démène pour le développement de son territoire, ne rassure nullement la population, et ne permet pas du tout d’espérer en lui pour la reconstruction et l’émergence de notre chère province de la Mongala !  

Rappelons que les assassinats commis dernièrement au territoire de Bumba sont les suivants :

1°) vers mi-février 2023, il y a eu le meurtre de Richard Ebuka surnommé Subusele, dont le corps inerte avec la tête égorgée était retrouvé dans son quartier de « Mabaya, direction Nzangi » à la 23e avenue.

2°) vers le 13 mars 2023, un sujet nandé fut assassiné, et son corps jeté sur un ruisseau près d’un pont récemment jeté sur l’avenue Kinshasa non loin de la Route Manga au centre-ville de Bumba.

3°) le mercredi 15 mars 2023 vers les petites heures du matin, des exécutions sommaires de trois vigiles, sans que les criminels ne cherchent à piller ni dévaliser les biens sous la protection des vigiles.

Jusqu’à présent la province n’a cherché à organiser aucune enquête pour capturer les criminels qui continuent impunément à vaquer à leur sale besogne à travers la cité de Bumba, car d'autres vigiles, gravement blessés, ont risqué de justesse, quelques jours plus tard, de subir le même sort que les précités…

                                                                               Antonio Lisuma

mercredi 29 mars 2023

Emile Onyumbe prône l’éthique écologique aux peuples africains

Emile Onyumbe prône l’éthique écologique aux peuples africains

Dans le but d’amoindrir des tâches laborieuses qui lui valaient autrefois de considérables efforts et de bonifier ses conditions vitales, l’homme s’est, après de longues réflexions et recherches, doté de technologie dont découlent diverses inventions qui lui offrent d’un côté leurs avantages et de l’autre leurs effets pervers.

Emile Onyumbe, CICM

Cependant, ces effets pervers contribuent énormément à la ruine du cadeau précieux lui offert par le Ciel, l’environnement dans lequel il vit en y causant des dégâts et cette ruine dont il s’agit l’expose à moult dangers surtout sur le plan sanitaire.

Vue de la nature dans le territoire de Bumba

Ainsi, s’inspirant de l’Encyclique Laudato si du Pape François, l’un des membres de la Congrégation du Coeur Immaculé de Marie, issu de la paroisse Notre Dame de Bumba, répondant au nom d’Emile Onymbe prône aux peuples de l'Afrique en général et à ceux de la République Démocratique du Congo en particulier l’éthique écologique via une dissertation intitulée « Repenser la crise écologique dans Laudato si ».

La nature dans le territoire de Bumba

Ci-dessous, nous vous présentons la dissertation de ce membre de la Congrégation du Coeur Immaculé de Marie :

 

Repenser la crise écologique dans Laudato si’

INTRODUCTION

Dans son désir permanent de tout connaitre et de tout faire, l’homme est parvenu à créer la technologie pour maitriser la nature et simplifier son travail, perfectionner son savoir et améliorer ses conditions de vie. En lui rendant des services louables, la technologie est en même temps l’objet de destruction de la terre, de la chosification de l’homme. En effet, ce caractère ambivalent de la technologie actuelle est une interpellation et une préoccupation majeure du prélat de l’Eglise, le Pape François. Dans son Encyclique Laudato si’, il développe la question d’une éthique écologique dans le souci de sauvegarder la planète terre en tant que notre « maison commune ». Il constate que celle-ci souffre et crie en raison des dégâts que l’homme lui cause par l’utilisation irresponsable et par l’abus des biens que Dieu a déposé en elle. 

En ce sens, cette dissertation est une compréhension de la problématique soulevée par le Pape François dans son Encyclique Laudato Si’ sur la crise écologique et éthique de responsabilité en Afrique. Ainsi, nous ferons une subdivision binaire. Le premier portera sur le défi de la technologie comme péché écologique et le second sur la sauvegarde et la conversion écologique.

LE DEFI DE LA TECHNOLOGIE COMME PECHE ECOLOGIQUE

D’après le Pape François, notre époque se caractérise par des innovations technologiques et elle vise et court toujours vers un développement accéléré en vue d’améliorer les conditions des vies humaines. Voilà pourquoi le Saint père nous fait comprendre que, c’est dans ce désir que l’homme parvient à l’utilisation incontrôlée et abusive de la terre comprise comme notre « maison commune ». Elle est notre « maison commune » parce qu’elle est comme une sœur avec qui nous partageons l’existence. Elle est également considérée comme une mère qui accueille les hommes les bras ouverts et c’est elle qui les gouverne et leur offre tant de bienfaits[1]. Bref, elle est un mystère joyeux que nous contemplons dans la joie et dans la louange. 

Cependant, par sa liberté incontrôlée, l’homme, résidant dans l’univers ne vit plus selon l’idéal de Dieu. Il se fait méchant, indifférent, violent contre la nature et irresponsable de la grande responsabilité que Dieu lui a confiée de soumettre et de gouverner la nature.

 

Suite à cet anthropocentrisme dévié, l’homme contribue à la destruction de la nature. Pour suppléer à son insuffisance et subvenir à ses besoins, l’homme parvient à une exploitation incontrôlée de l’univers. Et celle-ci conduit à la perturbation de l’ordre de la création en causant de multiples effets négatifs.  De cette manière, l’homme perd la joie et le bonheur de vivre au monde ; parce qu’il est lui-même auteur de son malheur. Et c’est le cas du premier homme dans le jardin d’Eden. En outre, selon le Pape, l’exploitation abusive de la nature non seulement qu’elle cause de dégâts à notre maison commune, mais aussi et surtout elle cause plusieurs maladies aux personnes les plus pauvres suite à la détérioration et à la dégradation environnementale. 

Par ailleurs, face à cette détérioration environnementale et à cette exploitation incontrôlée de la maison commune, que faut-il faire ?  C’est la réponse à cette question qui fera la deuxième partie de cette dissertation.

LA RESPONSABILITE OU LA CONVERSION ECOLOGIQUE

Face à la dégradation et à l’exploitation incontrôlée et irrationnelle de la « maison commune », le Pape François appelle à la conversion et préconise une éthique de responsabilité. En tant que Pasteur et veilleur des consciences humaines, le Saint Père met à la disposition de l’homme africain ce qui est à son pouvoir, c’est-à-dire ce qu’il doit faire et ce qu’il ne doit pas faire. De ce fait, il rappelle que « non seulement la terre a été donné par Dieu à l’homme qui doit en faire usage dans le respect de l’intention primitive, bonne, dans laquelle elle a été donnée, mais l’homme lui aussi, est donné par Dieu à lui-même et il doit donc respecter la structure naturelle et morale dont il a été doté »[2]. Dans ce sens, l’homme doit se convertir et renoncer à son anthropocentrisme dévié et qui fait de lui un être dominateur absolu et un être destructeur de la terre. 

Par ailleurs, la conversion, fait de l’homme un être nouveau qui, en abandonnant d’utiliser abusivement et de détruire « la maison comme » reconnaît que sa liberté et son pouvoir de gouverner la terre ont de limites. Sans se substituer à Dieu, l’homme doit plutôt remplir son rôle de collaborateur de Dieu dans l’œuvre de la création afin de ne pas provoquer la révolte de la nature et faire écrouler la base de son existence3. Par conséquent, dans sa nature renouvelée l’être humain est ainsi considéré comme un administrateur responsable de la maison commune. Car, il n’y aura pas d’écologie sans un être renouvelé et moral. Dans cette nature renouvelée, l’homme renonce à la méchanceté et à l’état de nature qui fait de lui un destructeur de la terre, afin de devenir protecteur de l’univers. 

Dans cette optique, le souci de protéger et d’exploiter la nature avec amour et réserve, conduit au respect de l’être humain créé à l’image de Dieu et à la maintenance de la vie sociale. Dans ce sens, avec cet amour de vivre sur terre, l’homme s’engage pour rendre meilleur, paisible et belle notre ¨maison commune¨ en la transformant. En agissant ainsi, non seulement l’homme s’insère dans l’ordre de la création, mais aussi, il devient capable de vivre avec ses contemporains pour s’émanciper, s’épanouir et se réaliser en tant qu’être humain. Car, l’homme qui cherche à transformer la nature en tant que bien commun est celui qui parvient à éviter de causer de dégâts à la nature par l’utilisation irresponsable et exagérée et par l’abus des biens que Dieu a mis en son sein. Ainsi, une telle démarche amène l’homme à maintenir la paix dans le monde entier et promouvoir un développement meilleur et durable au sein de la maison commune.

Conclusion

Eu égard à tout ce qui précède, notre dissertation s’est articulée sur la crise écologique et éthique de responsabilité en Afrique suivant l’interpellation du Pape François ». En effet, dans sa lettre Encyclique Laudato Si’, le saint père répond essentiellement à une question d’ordre éthico-écologique. Son souci majeur à ce sujet consiste à sauvegarder la terre qu’il substitue de « maison commune ». En sa qualité de pasteur, il soutient que l’homme doit utiliser la terre avec amour et responsabilité. Et sans se substituer à Dieu, il doit remplir son rôle de collaborateur de Dieu dans l’œuvre de la création et doit exploiter cette maison commune avec respect. Car, la terre est un bien commun où tout le monde doit vire et partager l’existence avec les autres. Par conséquent, l’homme par son désir de transformer et de construire l’univers doit se convertir en évitant de causer à la terre des dégâts par l’utilisation irresponsable et par l’abus des biens que Dieu a mis en elle. L’utilisation incontrôlée et excessive amène la terre à la révolte et à des conséquences néfastes. D’où, l’être humain, par le pouvoir que Dieu lui a donné de gouverner la terre doit éduquer son agir et limiter sa liberté afin de maintenir la paix dans le monde et promouvoir un développement intégral et durable.  

[1] Cf. PAPE FRANÇOIS, Laudato si’, p. 3.

[2] Ibid., p. 91. 3 Cf. Ibid.

                             Bienvenu Balomao









 Les dépôts BRALIMA et BRACONGO de BUMBA ravitaillent

en bières les territoires de BONDO et de YAKOMA

Le dépôt de Bralima à l'immeuble Scibe Congo à Bumba
Le dépôt BRACONGO au bâtiment ONATRA Bumba

La situation géographique de la ville de Bumba au bord du fleuve Congo où circulent les bateaux de grands tonnages lui permet de ravitailler en produits manufacturés les territoires voisins de YAKOMA et de BONDO ainsi que d’autres localités environnantes.

Le transport de la bière par vélo: ici départ de Bumba vers Bondo et Bayé

Parmi les marchandises alimentaires en partance de Bumba vers les milieux ci-haut cités, la bière occupe une des places prépondérantes. Si les commerçants emmènent régulièrement à ces différentes localités de la farine de blé, du lait en poudre en boîte ou en sachet, du savon, des laits de beauté, des médicaments, etc., la bière occupe une place de choix, et même les whisky fabriqués à Kinshasa, le « 8 8 », sans compter le whisky local : l’ « aghene » ou le « Monzelenge », ou le « gbogbo ».

Les produits de la brasserie BRALIMA, tels que Primus, Turbo, Mutzig, Coca-Cola…, et même celle de sa rivale BRACONGO : Skol, Tembo, 33 Export, Beaufort, etc., sont régulièrement exportés vers les territoires de Yakoma et de Bondo, et surtout vers la localité minière de Bayé, à l’extrême nord de Bondo, vers lequel le gros de marchandises est acheminé, et où il existe une très forte concentration de la population et des orpailleurs de tout bord, qui.


Les casiers des bières et sucrées au dépôt BRALIMA

Les commerçants convoient leurs marchandises par des motos, mais aussi et surtout par des vélos, car les routes sont tellement mauvaises qu’aucun véhicule gros porteur, et même la redoutable jeep 4X4 ne peut plus s’hasarder à se lancer dans une telle aventure. 

De la bière au dépôt BRACONGO

  

Le dépôt BRALIMA/Bumba, ainsi que le dépôt BRACONGO/Bumba qui sont respectivement ravitaillés par la BRALIMA/Kisangani et BRALIMA/Kinshasa, et par BRACONGO/Kinshasa, sont donc obligés à ne pas connaître la rupture de stock en bières et en boissons sucrées car, cette rupture entraînera à coup sûr la carence non seulement pour les consommateurs de Bumba, mais également pour ceux des territoires et localités environnants qui dépendent de la ville de Bumba.

 

Ainsi les bateaux ravitailleurs doivent-ils acheminer sans interruption leurs breuvages alcoolisés pour maintenir la disponibilité des stocks dans les deux dépôts rivaux de Bumba.

Voici ci-après les prix actuellement à l’affiche aux deux dépôts :

Pour la BRALIMA :

Désignation

Contenance bouteille

Nombre bouteille

dans le casier

Prix en Franc congolais

Primus

72 cl

12

31.000 FC

Turbo

72 cl

12

31.500 FC

Primus

50 cl

20

35.850 FC

Turbo

50 cl

20

37.500 FC

Mutzig

32 cl

24

36.000 FC

Legend

32 cl

24

37.000 FC

Coca cola (sucrée)

32 cl

24

32.900 FC

Fanta-orange

32 cl

24

32.900 FC

Vital’o

32 cl

24

32.900 FC

Tonic

32 cl

24

32.900 FC

Sprite

32 cl

24

32.900 FC

Energy malt

32 cl

24

32.900 FC

 

Pour la BRACONGO :

Désignation

Contenance bouteille

Nombre bouteille

dans le casier

Prix en Franc congolais

Skol

65 cl

12

32.400 FC

33 Export

65 cl

12

32.400 FC

Tembo

65 cl

12

36.600 FC

Tembo

33 cl

24

39.400 FC

Beaufort

33 cl

24

39.100 FC

Top. Grena (sucrée)

32 cl

24

20.400 FC

Top. Limo

32 cl

24

20.400 FC

Top. Tropical

32 cl

24

20.400 FC

Energie

32 cl

24

26.400 FC

Malta café

32 cl

24

24.400 FC

                                                                    Antonio Lisuma