jeudi 28 avril 2022

Nahomie Ngoy vient de tuer son grand-Père suite à un conflit parcellaire

Nahomie Ngoy vient de tuer son grand-Père

suite à un conflit parcellaire

Monsieur Litoti Léon, connu plus souvent sous le nom de Gombele, vient d’être assassiné ce mercredi 27 avril 2022 en début de la soirée par sa petite fille Nahomie Ngoy à la suite d’un conflit parcellaire.

La dépouille mortelle de Papa Leon Litoti Gombele exposée ce jeudi 28 avril devant sur avenue Du 24 Novembre en diagonale avec le couvent des Frères de Saint Joseph.

Veuf de son épouse depuis le mois de janvier dernier, Monsieur Gombele vivait avec ses trois enfants dont le dernier n’avait que sept mois et avait des difficultés de nouer les deux bouts du mois par manque de véritable emploi.

Avec le peu d’argent qu’il percevait des locataires qui habitaient dans la même parcelle familiale que lui sur l’avenue du 24 Novembre, en diagonale de la Maison des Frères de Saint Joseph, il était obligé de le partager avec ses deux sœurs.

Mais Nahomie Ngoy, la nièce de deux sœurs de Gombele, donc la petite-fille de ce dernier, était mécontente du partage que l’oncle de sa défunte mère faisait. Elle tenait à ce que monsieur Gombele, l’oncle de sa mère, l’associe aussi parmi les bénéficiaires.

On reconnait Nahomie Ngoy dans cette photo au fond en t-shirt rouge avec foulard jaune sur sa tête, quand elle était encore dans le groupe de Bilenge ya Mwinda

Elle tenait tellement à cela que l’autre fois, associée avec ses mères cadettes (ses deux tantes maternelles) et un cousin, ils en créèrent un grand conflit parcellaire et parvenait même à obliger Gombele de vendre la parcelle pour que chacun d’eux reçoive sa part d’héritage.

Devant le refus catégorique et persistant de Gombele, qui continuait à refuser de vendre ladite parcelle, les deux petits-enfants, Nahomie et son cousin, se saisirent de Monsieur Gombele ; le cousin lui saisit les deux bras et Nahomie s’approcha avec un pilon qu’elle tenait en main et frappa de toute sa force le Grand-père au niveau de mandibule.

Celui-ci s’écroula de tout son long et mourut sur place. Les gens du quartier accoururent et alertèrent la police qui mit aussitôt aux arrêts les deux malfrats ainsi que les deux sœurs du défunt qui attendent actuellement au cachot de la police GMI (Groupe mobile d'intervention) en attendant le transfèrement de leur dossier au niveau de parquet près le Tribunal de paix de Bumba qui transféra ensuite le dossier à l'instance judiciaire compétente, le Tribunal de grande instance de Lisala, puisqu'il s'agit bien de l'homicide dont la sanction va de plus de 5 ans de prison.

Il sied de rappeler que Nahomie Ngoy s’était habituée depuis sa jeunesse avec ce système de frapper ses "adversaires" avec un bâton ou un gourdin. De même peu après, pendant son passage comme Elenge ya Mwinda de l’étape de Lucidité 2 à la paroisse Notre Dame (elle a fait le Saut à l'an 2012), lorsqu’elle avait tenté de frapper son Initiateur Abugaza César Laba avec un gourdin, alors que ce dernier lui reprochait ses méconduites au sein du groupe des Jeune de Lumière. Ce qui lui valut le renvoi du groupe, une éducation chrétienne ratée!.

                                                              Antonio Lisuma 

A quand la réfection du port fluvial de Bumba ?

A quand la réfection du port fluvial de Bumba ?

62 ans après l’indépendance, le port fluvial de Bumba n’est plus que l’ombre de lui-même. Aucun service portuaire n’est en vue, à part les entrepôts dont certains sont abîmés. Tous les bateaux qui arrivent à Bumba en provenance de Kinshasa ou de Kisangani accostent dans les beachs privés sur l’avenue du fleuve en amont du port.

Le port fluvial de Bumba

Les deux longues grues datant de l’époque coloniale, devenues actuellement défectueuses et inopérationnelles, se présentent comme les seuls vestiges de ce qui était une des plus importantes installations portuaires du Congo après celles de Kinshasa, à l’époque où elles appartenaient encore à l’ex-ONATRA, l’Office nationale des transports, devenu aujourd’hui SCTP (Société commerciale de transport et des ports).

Aucune autre machine ou engin de levage et de manutention tant pour des lourdes charges que des petites ne sont en vue au port.

Ce port fluvial de Bumba n’appartenait plus à l’ONATRA depuis le début des années 1990, il fut cédé par ordonnance présidentielle du Feu Président Mobutu à la Société des Chemins de fer Uélé-Fleuve (S.C.F.U.F en sigle).

Les grus s'abiment même à la base.

Et comme cette société ferroviaire, qui jadis désenclavait toute la partie Nord du pays en reliant la ville d’Isiro dans la province de Haut-Uélé à celle de Bumba dans la province de la Mongala en s’ouvrant par son terminus du port sur le fleuve Congo, est complètement détruite (Mboka esili ekufi nayango), c’est ce qui explique l’état de destruction du port de Bumba, car, qui alors devrait s’en occuper ?

Les questions que d’aucuns se posent sont les suivantes : A quand la réfection du port fluvial de Bumba, le terminus des Chemins de fer Uélé-Fleuve? Qui devrait prendre l’initiative de sa réhabilitation ? Comme le port était cédé à SCEFUF par l’ordonnance présidentielle, qui devrait logiquement le rétrocéder à l’actuelle SCTP ?, n’est-ce pas la présidence de la République ? Et si l’on n’avait aucun souci de le rétrocéder, pourquoi tarder à le réhabiliter ? Si le président de la République, qui du reste n’est pas un magicien, n’avait aucune réalité de l’état défectueux dudit port fluvial CEFUF à Bumba, qui devrait la lui signifier, n’est-ce pas les députés nationaux et les gouvernements provinciaux de Haut-Uélé, Bas-Uélé et de la Mongala ?

L'un des entrepôts du port SCFUF

Est-ce que l’argent manque dans ce pays pour réhabiliter ce port stratégique de Bumba à portée nationale ?

En suivant à travers les médias comment l’argent de l’Etat est souvent utilisé, il y a bien raison de tiquer : par exemple, nous avons suivi que le Président de la République avait décaissé 58 millions de dollars pour s’acheter des véhicules…, si l’on en soutirait ne serait-ce que 5 millions pour la réfection dudit port, cela ne marcherait-il pas ? Que dire de 300 millions récoltés de l’opération « RAM des téléphones », ne peut-on pas en soutirer quelque chose pour le précieux port de Bumba ? Alors les 400 millions ou 600 millions des « 100 jours »…

Le manque de volonté politique dans ce domaine nous pousse à conclure qu’on n’aime pas ce pays, nous n’aimons pas notre pays. Nous disons bien nous tous, en commençant par la population de Bumba, ensuite les dirigeants de trois provinces précitées (les gouvernements provinciaux concernés) enfin les députés nationaux…, pour faire bruit auprès des décideurs qui sont le gouvernement national et les Ministres, avec en tête le Président de la République, et le premier Ministre…

Attendons l’arrivée prochaine du Président de la République à Bumba. Peut-être que sa présence sur le sol bumbatracien apportera des solutions tant attendues par la population.

                                                                  Antonio Lisuma

  

mercredi 27 avril 2022

A.S. Lokole s’est incliné devant F.C. Murumba

A.S. Lokole s’est incliné devant F.C. Murumba

Football Club Murumba

Repris samedi 23 avril après avoir été interrompu pendant quelques jours, le play-off se poursuit conformément au calendrier réaménagé que venait de rendre public l’Entente urbaine de football de Bumba. L’après-midi du mercredi 27 avril, le stade Père Carlos a accueilli aux environs de quinze heures locales l’Association Sportive Lokole et le Football Club Murumba.

Comme à l’accoutumée, le match s’est bel et bien déroulé après que le coup de sifflet de l’arbitre a été entendu. Cependant, cette rencontre ayant marqué le début de la sixième journée du championnat a été l’occasion pour le Football Club Murumba de tirer profit de trois points mis à leur disposition suite la faiblesse de l’Association Sportive Lokole à laquelle il ne s’attendait même pas vu la prestation de cette dernière lors de récents matchs qu’il a joués.

Association sportive Lokole

S’étant rendu compte de la faible offensive de son adversaire quelques minutes après le début du match, le Football  Club Murumba a vite inscrit son premier but qui a aussi clôturé la première mi-temps puisqu’aucun autre but n’ayant été marqué. De retour au terrain après la pause passée au vestiaire, il n’a pas tardé à alourdir le score en marquant son deuxième but durant les quinze premières minutes de la seconde mi-temps.

Le match se poursuivant, l’Association Sportive Lokole fournira de son côté beaucoup d’efforts afin de relever les défis. Ainsi, il réussira à réduire le score en inscrivant un but. En dépit de cela, sa prestation ne lui permettra pas d’être à la hauteur du jeu ; car dur comme le fer, le Football Club Murumba maintiendra sa position en ajoutant un troisième but. Ce qui lui a permis de sortir vainqueur de la rencontre avec un score de trois buts à un en défaveur de l’Association Sportive Lokole.

Concernant la question d'insécurité qui avait justifié la suspension du play-off selon la déclaration du président de l’Entente urbaine de football de Bumba, il sied de signaler que, contrairement aux deux dernières rencontres de la cinquième journée, celle de la sixième journée a quand même vu quelques éléments de la police nationale congolaise au pourtour du terrain.

Bienvenu Balomao

       

Nombre d’auditeurs satisfaits de la mise en garde du Maître Gabin Kalala

Nombre d’auditeurs satisfaits de la mise en garde du Maître Gabin Kalala

Alors que les journalistes des radios La voix de Bumba et Mwana Mboka appartenant respectivement au Vice-Premier Minisitre, Ministre de la Fonction publique, son Excellence Jean Pierre Lihau et à l’Honorable Crispin Ngbundu Malengo, gouverneur honoraire de la Mongala semblaient vivre dans un certain antagonisme ; Maître Gabin Kalala, le Directeur du cabinet adjoint du VPM en séjour à Bumba a sévèrement mis en garde sur les ondes de La voix de Bumba, mardi 26 avril, tous les journalistes de cette maison de presse contre toute forme de réplique à caractère injurieux face aux propos outrageux des autres maisons de presse de la place dont pourrait être victime son chef en leur faisant savoir que la radio de son chef ne doit pas être le lieu des règlements de compte.

Maître Gabin Kalala

Après l’annonce de la suspension du journaliste Fabien Wita, le directeur de ladite radio, il a ajouté que son chef ne peut jamais inciter les journalistes de sa radio à insulter les gens ou répliquer aux calomnies dont ils sont victimes. Il leur a dit haut et fort que ce n’est pas à eux que revient la tâche de poursuivre ceux qui s’attaquent au VPM Jean Pierre Lihau. Le service compétent n’est pas absent, il est bel et bien là. En cas de problème, il s’en occupera. Avant de quitter la radio, il a même invité les auditeurs de La voix de Bumba à ne pas hésiter de le tenir au courant dès qu’ils auront constaté dans le chef de ces journalistes le non respect de cette mise en garde.

Maître Gabin Kalala aux côtés du VPM Jean Pierre Lihau au stade Père Carlos

Ayant suivi avec intérêt Maître Gabin Kalala, les auditeurs n’ont pas tardé à faire de sa déclaration le débat du jour dans les ruelles, les avenues ainsi que les quartiers de Bumba. A en croire quelques-uns qui se sont confiés à Bumbanotredame.blogspot.com, ils ont dit être satisfaits de la mise en garde faite par le directeur du cabinet adjoint du VPM. « Nous présentons nos félicitations au Maître Gabin Kalala pour la mise en garde qu’il a faite aux journalistes de la radio La voix de Bumba, laquelle prouve la volonté de son chef de voir les filles et fils de son terroir vivre dans la paix et l’amour. Nous invitons les autres leaders politiques dont les radios sont implantées à Bumba à faire autant pour les journalistes de leurs maisons de presse, car nous voulons que règne un climat paisible dans notre territoire. Les hostilités fratricides ne favoriseront jamais son émergence », ont-ils émis avec insistance.

Bienvenu Balomao





      

mardi 26 avril 2022

Saison des pluies : des flaques d’eau sur les rues de Bumba

          Saison des pluies : des flaques d’eau sur les rues de Bumba

Chasser le naturel il revient souvent au galop, dit-on. Après la saison sèche qui a duré presque quatre mois, c’est-à-dire du mois de décembre vers fin mars, voici venue à partir de mois d’avril courant la saison des pluies que beaucoup avaient réclamées pour leurs multiples bienfaits sur le plan agricole.

Sur la direction Milona au croisement avec l'avenue maman Yemo

Si d’un côté la pluie apporte les bienfaits de survie nécessaire tant pour les humains, les animaux que les plantes, cependant de l’autre côté son abondance apporte parfois de tas d’indélicatesse insupportable.

Le cas le plus frappant est la destruction par les eaux de pluies pendant les saisons pluvieuses de nos routes et avenues mal entretenues par les services qui devraient normalement s’en occuper, à savoir l’Office des routes pour les routes des milieux ruraux et l’Office des Voiries et Drainages (OVD en sigle) pour les milieux urbains ou suburbains.

Sur l'avenue du 24 Novembre

Le mal en est que pendant des années, ces entreprises étatiques surtout l’Office des routes, ne fonctionnent plus dans la province de la Mongala en générale et dans le territoire de Bumba en particulier. Raison pour laquelle les routes tant nationales que provinciales, en l’occurrence, celles de desserte agricoles sont impraticables, même pour de simples vélos !


Les quelques avenues réfectionnées par les engins de l’OVD l’année dernière au centre-ville de Bumba sont actuellement à la merci de la dame la pluie ; elles sont les « cibles » prioritaires de la pluie, et si l’on n’y prête aucune attention (l’Etat et sa fameuse OVD), la pluie fera son travail et l’on se retrouvera comme à l’époque d’antan, avec le cercle vicieux du perpétuel retournement vers l’état sauvage après chaque réfection sans mesures d’entretien régulier.

Derrière EP Miloli...

Il suffit qu’il pleuve abondamment pendant une ou deux journées pour se retrouver avec des avenues entières submergées par les eaux des pluies. Et comme le système d’évacuation des eaux de pluie, le drain ou le daleau ne sont pas toujours tracé par l’OVD sauf à l’époque coloniale, les eaux de pluie stagnent souvent et restent sur place en formant des flaques d’eaux si elles ne trouvent pas une pente par où passer ; ce qui constitue ainsi un danger potentiel non seulement pour la circulation routière mais aussi pour la culture des larves des moustiques.

                                                                    Antonio Lisuma

Ce qu’a dit un ingénieur forestier à la conférence organisée par le CRSRC

Ce qu’a dit un ingénieur forestier à la conférence organisée par le CRSRC

Ingénieur forestier Steve Mato

Aligné parmi les orateurs de la conférence du 30 mars dernier organisée par le Centre des Réflexions Scientifiques sur la Renaissance du Congo dans la salle polyvalente de la paroisse Notre Dame, l’ingénieur forestier Steve Mato a focalisé son attention sur le sous-thème « Comment concilier le développement socioéconomique des populations et la sauvegarde de l’environnement ? » qu’il a projeté et commenté devant les intellectuels bumbalais qui y avaient répondu présents.

Amorçant son speech, le conférencier a de prime abord présenté aux participants la forêt et ce qu’on y trouve en leur signifiant que le contexte de la conception de la forêt diffère d’un pays à un autre. Ainsi la disparité qui en résulte prouve que chacun peut définir la forêt de sa manière selon les espèces qui s’y trouvent.


A l’en croire, la forêt contient en tant qu’unité fonctionnelle tant d’espèces animaux et végétaux et offre aux populations pas mal de produits comme chenilles, champignons, bois et autres. Outre ces produits, il a également parlé des services que rendent les forêts aux populations de chaque communauté en clarifiant que les forêts protègent et purifient les cours d’eau face à la pollution des matières organiques.


Par contre, il s’est inquiété sur la situation alarmante de la disparition de certaines espèces rares et périodiques à laquelle est en train de faire face les forêts de la province de la Mongala à cause de la déforestation que subissent ces dernières du jour au lendemain.

La question débattue et close, il a été suggéré aux participants de conserver les recommandations leur faites pour la sauvegarde de l’environnement. Celui-ci étant la mère nourricière de l’homme, personne ne peut s’en passer. Pour ce faire, il convient de mettre en place des stratégies qui aideront les populations mongalaises à mieux comprendre ces recommandations de la sauvegarde de l’environnement afin d’en faire les leurs. Le changement de mentalité s’avère également indispensable pour la réussite de cette protection de l’environnement dont il s’agit.

Bienvenu Balomao





















 

Suspension de Fabien Wita le Directeur de la Radio La Voix de Bumba FM

Suspension de Fabien Wita

le Directeur de la Radio La Voix de Bumba FM 

Maître Gabin Kalala le Directeur du Cabinet adjoint (Dircaba) du Vice-Premier Ministre (VPM) Ministre de la Fonction publique l’Honorable Jean Pierre Lihau en séjour à Bumba est passé ce mardi 26 avril 2022 vers 12 heures déclarer sur les ondes de la Radio La Voix de Bumba FM, la radio du VPM, la suspension du Directeur de ladite radio, Monsieur Fabien Wita.

Mr Fabien Wita, le Directeur suspendu de la radio La Voix de Bumba FM

 La raison principale de sa suspension est la dispute injurieuse perpétrée et entretenue par ce dernier à travers les ondes de la Radio La Voix de Bumba FM contre ses collègues de la Radio Mwana Mboka dont quelques-uns sont actuellement aux arrêts à la prison centrale de Bumba suivant les instructions du Ministère public du parquet près le Tribunal de paix de Bumba.

Fabien Wita à côté de l'Honorable Jean Pierre Lihau lors de meeting de ce dernier au Rond-point de Bumba

 Maître Gabin se défend ne jamais accepter que des journalistes de la Radio de son chef puissent se servir des ondes de la radio pour perpétrer des répliques injurieuses à travers les ondes en réagissant contre des injures proférées à l’endroits de Son Excellence le VPM de la Fonction publique Jean Pierre Lihau.

Fabien Wita

 « Car celui-ci, ajoute le Dircaba, étant un Homme d’Etat, ne réagit pas contre les injures et insultes proférées contre lui à travers les réseaux sociaux. ». « Même si des journalistes d’autres maisons de presse se permettaient de l’insulter, ce n’est pas à vous, nos journalistes, de répliquer à ces menaces », a-t-il laissé entendre.

Le Dircaba de Jean Pierre Lihau a en conséquence nommé le journaliste Trésor Emeka, le chroniqueur sportif, de faire l’intérim de la direction de la Radio en attendant la levée de la suspension. Il lui a intimé l’ordre de ne jamais provoquer des querelles à travers cette radio car celle-ci doit plutôt prêcher l’amour tel que le veut son Fondateur l’Honorable Jean Pierre Lihau.

Trésor Emeka, le Directeur intérimaire de la Radio La Voix de Bumba FM 

Quant aux Journalistes de la Radio Mwana Mboka qui sont actuellement aux arrêts, l’Homme des affaires de Jean Pierre Lihau a plaidé pour la clémence, en priant le Ministère public de les libérer aussitôt que possible.

 Il sied de rappeler que les querelles dont parle le proche collaborateur du Ministre Jean Pierre Lihau, lesquelles ont abouti à la suspension de Fabien Wita, se sont produits par les journalistes à travers les ondes de deux radios émettant à Bumba sur modulation des fréquences, à savoir La Voix de Bumba FM et Radio Mwana Mboka appartenant respectivement à Jean Pierre Lihau, actuel VPM de la Fonction publique et Ngbundu Malengo, l’ex-Gouverneur de la Mongala.

Ces deux grands leaders bumbatraciens, étaient élus députés nationaux lors des dernières élections de décembre 2018 avec des suffrages les plus élevés parmi les 5 députés nationaux du territoire de Bumba.

                                                                      Antonio Lisuma