vendredi 19 juin 2015

               
UN REGARD IMPUISSANT DE L’AUTORITE ETATIQUE SUR LA DEGRADATION              DES ROUTES PRINCIPALES DE LA VILLE DE BUMBA(2ème partie)
Nous continuons avec notre publication concernant l'impuissance de l'autorité étatique face à la dégradation des routes principales de la ville de Bumba. Les images que nous avons annexées ci-dessous le prouvent.





En un clin d’œil, nous regrettons encore amèrement que les autorités étatiques assistent donc impuissantes au délabrement des routes alors que les services générateurs de recettes fonctionnent en permanence sans penser venir au secours aux malheurs que connaissent les usagers de la route. En plus, la médiocrité devient notoire dans la ville de Bumba ; les individus responsables dans des services publics de l’Etat deviennent plus riches que l’Etat lui-même qui continue à demeurer dans une pauvreté extrême. Nous pensons que les services publics de l’Etat sont en majeure partie pris en otage par leurs autorités responsables qui, à nos yeux, se chargent plutôt  de payer à volonté à la caisse publique.  De même, ces autorités font n’importe quoi avec leurs  pouvoirs et parallèlement contribuent à ternir l’image de l’Etat congolais. Ainsi, l’on se demande, de quel souverain, ces autorités publiques incontrôlées ont acquis cette liberté de rançonner impunément la population qu’elles prétendent protéger.
 
 


Maintenant, le service de la police de circulation routière devient un danger permanent des usagers de la route, car ses éléments de ce service sont disséminés  même dans de petits coins du centre ville à l’affût des conducteurs des engins ou des véhicules qui ne disposent pas assez de documents de circulation routière en vue de les rançonner sans scrupule. Toutes ces sommes d’argent perçues illicitement au quotidien par la P.C.R (Police de Circulation Routière)  qui ne sont jamais versées au trésor public, ne pourront-elles pas contribuer à la réhabilitation des routes ? Nous condamnons également l’indifférence de nos commerçants locaux et d’ailleurs de ne pas initier un projet de secours aux routes qu’ils utilisent par leurs  propres véhicules, car  l’on a constaté ce dernier temps une prolifération de grands véhicules privés à Bumba.
Dans quelques jours, vous en aurez la partie restante.
 
 
                                                                     
                                           Critiques des Messieurs   Gabriel ILUKU et Bienvenu BALOMAO

 

 

 

 
 

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