le pont inauguré par le gouverneur, un réconfort pour les usagers de la route

Bumba/Avenue Mobutu: le pont inauguré par le gouverneur, un réconfort pour les usagers de la route

Récemment bâti, puis inauguré par Crispin Ngbundu, gouverneur de la Mongala, le pont jeté sur l’avenue Mobutu entre les directions Moseka et Poste  s’érige d’ores et déjà en véritable réconfort pour nombre d’usagers de la route qui, après plusieurs jours de gymnastique et d’exercice de descente et de montée voire des détours, ont enfin retrouvé l’impeccabilité sur cette portion de voie très fréquentée par les Bumbalaises et Bumbalais.

Se confiant à la rédaction de www.bumbanotredame.blogspot.com,  les conducteurs des vélos-taxis appelés communément tolekistes et ceux des moto-taxis dénommés taximen affirment que les courses effectuées sur cette partie réhabilitée de la voie ne sont plus pénibles comme a été le cas autrefois. Les travaux entrepris par le premier citoyen de la province leur ont rendu la tâche facile. Quant aux piétons, les avantages issus de cette réalisation sont également brandis sans ambages.

Toutefois ces travaux d’envergure exécutés sous la houlette du chef de l’exécutif provincial n’excluent pas la nécessité d’évoquer tant d’autres défis à relever dans les infrastructures routières de cette contrée mongalaise. Si le pont démoli sur l’avenue Mobutu, aujourd’hui réhabilité, réconforte les usagers du tronçon sur lequel il est jeté ; d’autres tronçons de la ville souffrent encore d’imperfection et d’impraticabilité.

En guise d’illustration, l’un des cas éloquents parmi tant d’autres en gestation reste celui de la direction Momboko dans sa portion allant de l’avenue Mbandaka à l’avenue du 24 Novembre qui, à la fois insalubre et impraticable, comprend un pont mal jeté. Outre ce dernier, elle est également sujette des flaques d’eau qui la rendent souvent boueuse étant donné qu’elle est traversée par le ruisseau Lingode dont le lit paraît très rétréci ce dernier temps.

La liste n’étant pas exhaustive, tant  d’autres coins de la ville nécessiteraient le coup de balai de l’autorité territoriale voire provinciale pour qu’ils reprennent leur état impeccable d’antan. Sur ce, l’option d’un soutien financier et physique des volontaires pourrait également paraître envisageable.

                                                                                              Bienvenu Balomao