Un prisonnier rwandais révèle le plan machiavélique de Kagame et Museveni sur l’occupation de la RDC.
Un prisonnier rwandais capturé par les Wazalendos vers Uvira
Selon certaines sources sûres et fiables, des militaires tutsis rwandais de la coalition RDF-M23
capturés par les vaillants combattants Wazalendo sur le front Uvira affirment
les ambitions belliqueuses et machiavéliques du président rwandais Paul Kagame et son
parrain Ougandais Yoweri Kaguta Museveni de diviser la RD Congo et de l’occuper
pour créer un tutsiland avant le départ ou la mort de deux leaders.
Interrogés par les patriotes Wazalendo, les prisonniers
avouent qu’eux, les tutsis, n’ont pas de terre, car le Rwanda appartient aux
Hutu qui sont majoritaires, et les Baganda n’ont pas encore dit leur dernier
mot en Ouganda. Leur existence au Rwanda est et restera toujours conflictuelle
car les Hutus tiennent à revenir au pouvoir.
Le capitaine Juvenal, un des militaires faits prisonniers
par le Wazalendo déclare que « Le Rwanda appartient aux Hutus et un jour
ils reviendront prendre le pouvoir ; où irions-nous si Paul Kagame n’est
plus en vie ? ». « C’est pourquoi, poursuit le capitaine
prisonnier, nous nous battons en RDCongo » pour arracher de la terre.
« Kagame et Museveni, renchérit-il, nous ont dit que le Rwanda et
l’Ouganda ne nous appartiennent pas et les pays qui ont des terres dans la
région, c’est la RD Congo et la Tanzanie. Nous avons peur de la Tanzanie car
les Tanzaniens sont catégoriques et ils n’aiment pas la corruption pour leurs
terres. Seule la RD Congo est faible dans la région, et les congolais sont
corruptibles. Avoir la terre en RD Congo est simple, il suffit de corrompre le
chef du village avec quelques biens ou de l’argent même s’il ne te connait pas,
et on reçoit de la terre. En plus les terres congolaises sont très riches en
minerai plus que la Tanzanie, mais aussi très fertiles pour diverses cultures.
C’est pourquoi nous nous battons, a laissé entendre le capitaine Juvenal
Wibiringiro »…
Cette envie des rwandais d’occuper une partie de l’est du
pays ne doit pas par conséquent être pris à la légère par les peuples
congolais, et surtout les dirigeants du Congo, car les vérités circulent
parfois dans les milieux carcéraux par les prisonniers.
Tous les congolais doivent par conséquent se mobiliser dans
tout le domaine de la vie pour contrer cette convoitise étatique et agressive à
outrance de la part de nos voisins belligérants…
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